Deux propositions bien différentes :
AACC : un jury composé de l’ensemble des parties prenantes, dont le rôle consisterait à juger les campagnes, pourraient rendre publique leurs jugements et à l’opinion de jouer son rôle de sanction.
Les ONG : une refonte du BVP qui intègrerait un collège d’ONG décisionnaires qui aurait un pouvoir de sanction.
Le développement durable est devenu un thème clé et incontournable dans les politiques de communication des annonceurs : cela leur permet de s’approprier des valeurs universelles, partagés par tous et aussi de légitimer leur place dans la société. C’est pourquoi, on comprend la réticence des agences de communication, annonceurs et media à abandonner leur système d’autorégulation.
Entre communication et action
Dans l’article de Novethic « Les métiers de la communication se font bousculer », on peut lire une remarque sur le Festival européen de la communication responsable : « les campagnes en compétition ont été primées pour leur créativité et le caractère citoyen de leur message mais aucun critère d’éco-conception n’était pris en compte, ni la pertinence de la stratégie de communication DD choisie par l’annonceur mise en question »
Les agences de communication et les annonceurs ont pris la pleine mesure de l’importance du développement durable et de l’éthique dans les politiques de communication mais la problématique future est la réelle prise en compte du développement durable dans la mise en œuvre des actions de communication.
Quelques pratiques novatrices :
ANAE a réalisé un module de formation sur la réalisation d’un évènement le moins polluant possible (www.eco-evenement.org/)
ADEME a édité une nouvelle version plus détaillée de son Guide de l’Eco-Communication qui recense toutes les possibilités et devoirs du secteur.
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